Trois romans à lire, l’un après l’autre, l’un avant l’autre, un seul, les deux, les trois. Comme on veut !
… à paraître sur papier, bientôt ? (Avril -2019)
Les effluves d’une vie
Les effluves d’elles
La femme au Cattleya, les effluves de l’aube
Triptyque d’effluves. Trois romans, à parcourir dans l’ordre ou pas. N’en dévorez qu’un, deux ou trois, au choix !
En lisant « Les effluves d’une vie » vous connaîtrez le personnage principal, ses amours, ses fleurs, sa sexualité, ses malheurs, son bonheur, son parfum, son âme sœur.
Dans « Les effluves d’elles », sous un autre angle, vous découvrirez l’amour de cette femme. En détail. Sa vie, son enfance, ses amours multiples. Son besoin d’elles, et d’elle.
Dans « La femme au Cattleya, les effluves de l’aube » vous trouverez d’autres clefs de cette histoire d’amours.
Trois voyages dans le temps, passé, futur, présent. Le nez dans le parfum de la vie…
Synopsis des trois romans :
« Les effluves d’une vie »
« Les effluves d’une vie » retrace la destinée d’une femme et de son sexe-orchidée offert au vent. Un voyage sous les embruns de ses souffrances, sa solitude, sa dérive sexuelle dans les tourbillons bleu-rose, sa rencontre avec l’amour et son naufrage dans les méandres d’une rivière sans fin.
Lorsque les ailes du bonheur caressent enfin sa peau, Lucie décide de créer un parfum sensuel mêlé de ses Cattleyas et d’autres fleurs des songes. Elle souhaite cette eau d’amour sur son corps pour déclarer sa passion au jeune Cédric, pêcheur de son cœur.
Sur la berge fragile de son existence, elle croisera un compositeur de désir.
Respirez les effluves de la vie de cette Femme-fleur, écoutez le temps et observez son sourire naître sous un cèdre du Liban. »
« Les effluves d’elles »
— Février 2019, Californie —
Des années ont passé.
« Les effluves d’une vie » se sont évaporés. Éclatés, comme des bulles irisées sorties d’une clé de l’enfance. Les goélands crient sur les falaises normandes, et Cédric observe la mer. Tant de fois le sel s’est déposé sur celles qui l’ont accompagné ici. Des jeunes filles-rêve au sourire coquin, des femmes-délice au parfum d’interdit.
Dans ce deuxième roman, vous découvrirez un peu plus le jeune homme que Lucie a aimé. Un amour aux parfums de tristesse qui l’a transformée en braises.
Sur les cendres d’elles, vous allez marcher. Un chemin sinuant dans le temps, dans les parfums d’avenir, dans les effluves d’antan. Avec, ou sans elle.
« La femme au Cattleya, les effluves de l’aube »
Cédric visite une exposition d’orchidées. Soudain, au milieu des Psychopsis, des Miltonias et Laelias qui inondent ses narines de fragrances du passé, il aperçoit une jeune femme tatouée à l’épaule derrière un des stands. Elle porte une fleur de Cattleya violine dans les cheveux. Il plonge trente ans en arrière. Lucie, son âme sœur est devant lui, nue dans sa serre au milieu de ses orchidacées.
Après une longue soirée aux côtés de la Fleur de vingt ans sa cadette (?), Cédric l’embrasse passionnément et croit devenir fou. Lucie est là dans ses bras, il sentirait presque son parfum.
Le soleil lèche les draps froissés de la nuit et caresse les deux corps dénudés. Les effluves de l’aube se déposent sur les oreillers.
Et si Lucie lui avait menti avant de mourir, si la Femme au Cattleya était Flora ?
Non ! Elles ne sont pas en vie !
Non ! Il n’a pas commis cette horreur ?
Et si c’était faux ? »